Cadeau !!! Un peu de douceur et de chaleur en ce début d’après-midi encore très frisquet… 😀
Et en musique à « plusieurs vitesses » …
Vitesse 3
Vitesse 2
Vitesse 1
Coincoins chauds !
Cadeau !!! Un peu de douceur et de chaleur en ce début d’après-midi encore très frisquet… 😀
Et en musique à « plusieurs vitesses » …
Coincoins chauds !
Si rien n’est permanent, si tout est éphémère…la vie parfois nous donne le sentiment de tourner en rond, de revenir sur nos pas, de refaire inlassablement la même chose. Le « taylorisme » dont le travail à la chaine est l’héritage n’a fait que s’inspirer du quotidien de chaque être vivant de cette planère. La moindre plante, le moindre animal, le moindre être humain se retrouve dans sa routine, s’identifie à celle-là. Enlevez lui et assumez en les conséquences. Ce qui nous différencie des autres entités vivantes, c’est que nous avons progressivement répondu à nos besoins primaires de survie et nous nous en sommes progressivement « créer » d’autres.
Plus on se trouve haut dans cette pyramide et plus haute est la considération individuelle. Egocentrisme ? Egoisme ? Oui peut-être. En tout cas, consumériste avéré, l’être humain est amené (obligé ?) à s’occuper de plus en plus l’esprit. Excusez la simplicité de mon propos, je ne suis qu’un canard aux neurones animaliers donc peu à même de tout saisir. Ce qui en ressort selon moi ? Plus on s’éloigne de la base de nos besoins, et plus on se perd dans la futilité. Mais les toupies de la routine poursuivent leurs évolutions quelque soit l’étage où s’est arrêté l’ascenseur. En cela au moins, nous sommes tous plus ou moins semblables 😉
Les saisons passent, en boucle et chacun reproduit à son échelle, dans son quotidien sa routine, ses repères. La rose du jardin, le baobab africain du Sénégal, la baleine à bosse qui migre inlassablement de l’Antarctique à Mayotte, la planète terre, tous, répondent à leurs besoins primaires et suivent leurs cycles. Et nous, ce sont les anniversaires, les fêtes, les manifestations, les menstruations, le Beaujolais, l’ex qui redevient « in »…. Merci de compléter la liste, vous verrez, elle est infinie.
Alors sommes-nous réellement différents de l’ours qui tourne en rond dans sa cage, du poisson rouge dans son bocal ou du canard dans sa mare ? Ne sommes-nous là que pour nous occuper l’esprit ou le ventre ne craignant finalement qu’une chose : celle de perdre un étage ?
Et on tourne, et on tourne…
Coincoins en boucle !
Soy…
Voici un petit article en passant. Un petit message certes au goût naïf et illusoire. Un petit message pommade… Je me berce de l’illusion simple de faire naître sinon une lueur en vous au moins un petit sourire ou encore un petit battement du pied (à l’instar de ma patte). Je dédie ce billet à la plupart d’entre nous qui, au jour le jour, exprimons, partageons, ressentons la vie qui nous anime, nous mine, nous détermine.
Je vous invite à lancer la vidéo qui suit. Je suis un fan de cette femme…depuis son fameux « Piensa en mi ». Je l’ai vu et entendu plusieurs fois et elle a ce pouvoir de m’émouvoir mais aussi de me faire sentir mieux. Elle use de sa voix, de ses mots, de son minois, de ses attitudes et de bien plus encore. Allez, je cesse ce canardage de mots, stoppe le bavardage et laisse place avec avantage à Luz Casal…
Ce soir, la Mare fait hommage ! Que la Luz(*) soit !
😀
Coincoins en rythme !
(*) « luz » = lumière en espagnol
Les paroles (version originale)
Soy
un mar en calma al despertar
una esperanza que traerá
mil sorpresas
que me ayudarán
a construir mi realidad.
Hoy
ante una taza de café
frío como el amanecer
me pregunto si alguna vez
tuve en mis manos el poder.
Y como siempre, siempre, siempre,
siempre estoy pensando en ti.
Con tus gestos me provocas
la alegría de vivir.
Y como siempre, siempre, siempre,
siempre estoy pensando en ti.
Tu sonrisa me provoca
la alegría de vivir.
Hoy
ya cerca del atardecer
convino el antes y el después.
La fatiga que me da beber
el sonreir como hice ayer.
Y como siempre, siempre, siempre,
siempre estoy pensando en ti.
Con tus gestos me provocas
la alegría de vivir.
Y como siempre, siempre, siempre,
siempre estoy pensando en ti.
Tu sonrisa me provoca
la alegría de vivir.