« Deuxième grande exposition thématique après « Chefs-d’oeuvre ? », « Erre » est une exposition collective produite par le Centre Pompidou-Metz, qui prend comme point de départ le motif du labyrinthe pour aborder les questions de l’errance, de la perte, de la déambulation et leurs représentations dans l’art contemporain. »
Dépliant remis au visiteur de l’exposition ERRE
Le jour de mes 42 ans, Canardito et moi-même visitions (émerveillés) 2 expositions admirablement présentées au sein du centre Pompidou-Metz. La première, je m’y suis déjà attardé, c’était ICI et je ne veux pas rajouter en ces lignes des brassées supplémentaires. Non pas besoin. Pour vous perdre, j’ai bien mieux ;-). C’est la deuxième exposition, « ERRE Variations Labyrinthiques »..
Ballade en 8 chapitres, 8 temps, 8 axes, 8 terrains de réflexion autour et, bien entendu, au sein du labyrinthe. Sujet maintes fois abordé (rance le sujet ?) et suscitant une curiosité constante à travers les générations (si vous aviez vu combien Canardito a observé, lu, réfléchi et questionné), c’était le contexte idéal dans lequel je voulais (essayer de) me retrouver. Au moment même où ma vie s’apparente elle aussi à un labyrinthe. Souffrant mille aller-retours, de nombreuses voies sans issue, d’incessantes interrogations, je devrais aujourd’hui me retrouver au même point. Mais non… J’erre, je me perds, je tergiverse.
Visitant cette exposition, j’ai « enfin » eu de bonnes raisons de me perdre et je n’ai pas boudé mon plaisir. Voici un lien vers une galerie de quelques clichés que je vous laisse en offrande pour les sympathiques nageurs de la Mare que vous êtes ;-). J’espère que vous aurez autant de plaisir à les découvrir que moi j’ai eu à les prendre (malgré des conditions mouvantes, obscures et déconcertantes).
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Coincoins errants !