…. COME WITH ME !!! (**)
Musique !!!!
Coincoins entoilés !
(*) Petite mouche
(**) Viens avec moi !!!
…. COME WITH ME !!! (**)
Musique !!!!
Coincoins entoilés !
(*) Petite mouche
(**) Viens avec moi !!!
Petit partage au sujet d’un film malheureusement méconnu, « J’me sens pas belle » réalisé en 2004 par Bernard Jeanjean avec Marina Foïs et Julien Boisselier.
Synopsis sur Allociné : Fanny, une trentenaire célibataire, ne veut plus entendre parler d’amour mais seulement d’aventures d’un soir. Elle tente alors d’obtenir les faveurs de Paul, un collègue de bureau, mais les choses vont prendre une tournure inattendue.
Appauvrissement relationnel, tristesse de fond, les personnages en huis clos, « danse » un tango social et échange des dialogues humains sans fausse pudeur. Petits mensonges, grands sentiments. Ce film se regarde, s’écoute, se savoure. Je l’ai découvert à sa sortie et je continue à le visionner régulièrement. Oui peut être que vous venez de hausser les épaules 5 ou 6 fois depuis le début de la lecture de ce billet, froncer les sourcils plus souvent encore ou d’adopter un air ennuyé.. mais bon, lancé comme je le suis je vais jusqu’au bout de ce petit partage « intime » 🙂
Je vous propose de terminer ce petit mot Zikmu avec 2 petites perles extraites de cette petite merveille « humaine ». Frissons jusqu’au bout des plumes 🙂
Quelques pas de danse avec le sublime acteur (et donc aussi danseur) Julien Boisselier sur une musique indienne hallucinante :
Quelques paroles le long d’une « petite » chanson interprétée par la troublante Marina Foïs (quand on en lui laisse l’occasion). « Trentenaire et célibataire » (je vous canarde les paroles dans le PS, au cas où…) a cappella, voix fatiguée et profonde.. :
Coincoins de la Mare
PS : Paroles de la chanson « Trentenaire et célibataire »
Trentenaire et célibataire
C’est le paradis ou bien l’enfer
On est nombreux à ne pas être deux
Et puis alors, si c’était mieux?
A trente balais, tout est parfait
Tu nages dans le bonheur complet
Et ta maison est une prairie
Où tu cours, tu gambades et tu ris
Aucun besoin de vivre ça avec quelqu’un
Seul, on est bien, on est bien
Ah ça y est, chui réveillée, j’avais rêvé
A trente balais tout est foutu
Tu coules dans un malheur voulu
Et ta maison est un taudis
Où tu pleures, tu t’écroules et tu cries
Aucun besoin de vivre ça avec quelqu’un
Seul, on est rien, on est rien
Ah ça y est, j’ai sursauté, j’ai cauchemardé
Mais où se trouve la vérité
Entre ces deux réalités?
Moi, tout ce que je sais,
C’est qu’il y a de la joie
Dans le célibat
Si c’est un choix
Un choix.
Ouvrons la fenêtre, laissons le soleil rentrer, baignons nous dans le halo tout chaud et « n’oublions pas les paroles ». A la lecture d’un commentaire, un doux souvenir me revient. Sourires 🙂
Un grand appartement..beaucoup de bois partout, le clocher se fait entendre. Fenêtres et âmes ouvertes, la lumière inonde… Le disque passe à la piste suivante, gargouille et scritche..se fait attendre… L’orchestre entame alors la joyeuse rythmique de ce morceau d’exception. Dès les premières notes, je me surprends à apprécier cette découverte sonore. Luc et Isabelle entonnent les paroles, c’est du par coeur. Et dans les 2 sens du terme : ils aiment ! Ils s’aiment ! Leurs sourires se croisent, se touchent du bout des lèvres et se libèrent. Lui enchante, elle danse. Ils sont beaux, harmonieux. Le sourire est partout. C’est dimanche, je me sens en famille.
Par la suite, pas une fois, ce souvenir ne manquera de me submerger à l’écoute de ce titre. Comme éternellement à l’affiche, tout est là, les images, l’atmosphère, la joie, le sourire.. en moi. Rien ne la décolle(ra). On aime ou on n’aime pas. Pour moi, cet Aznavour-là est un grand ! Bonheur à la sauce Canard ! 😀
Coincoin !
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