Jusqu’au bout de son rêve … (par et avec Mia)

Jusqu'au bout du rêve

Jusqu’au bout du rêve

Lazy dimanche en mode « robe de chambre ».

Aujourd’hui, je laisse la parole à Mia. Une fois n’est pas coutume, une autre « plume » qui ne sera pas une plume de canard cette fois 😀 Cette fois, il s’agit de la plume d’une belle colombe, avisée, maîtrisée et surtout animée par une belle imagination « positive » comme la suite de l’article va nous le montrer. Dans le cadre donc d’une collaboration inter-blog, elcanardo.net a la joie, la chance et, SURTOUT, l’honneur de vous présenter, ici, à la une, de ce modeste blog cet écrit estimable.

Suite à l’article contant l’histoire de Sophie la girafe en quête de sa « vraie » place puis celui mettant en scène ses proches à sa recherche, Mia, à travers un de ses plaisants commentaires, a accepté de me/nous dévoiler la suite des aventures de cette grande bringue. Les lignes qui suivent sont une reprise (copier/coller) dudit commentaire. Un grand merci pour l’autorisation de publier si joyeusement et gentiment donné ! Je stoppe mon « caquetage » (??!?) et laisse place au doux épilogue proposé ! Mia(m) Mia(m) !

 

Humm, décider de la fin, quelle lourde responsabilité. Et puis je n’ai pas ton talent pour les paraboles ni même pour conter mais… je vais m’attacher à cette bonne fin que tu me souhaites et la prendre comme une consigne ! ;)
Car même si je n’ai pas grand chose à voir avec une midinette, j’aime les histoires qui finissent bien et je veux croire en notre capacité à nous adapter et à surpasser nous-même ou les évènements.
Alors, j’imagine Sophie courant à une telle rapidité que ceci finit par se transformer en élan et que le désir profond qui l’anime se déploie peu à peu en elle, comme des ailes qui la porteraient.
Et c’est ainsi que peu à peu, elle prend de la hauteur puis s’envole jusqu’à toucher les nuages, apprécier leur douceur et leur légèreté et même… les dépasser.
Ouvrant alors soudain les yeux pour mieux savourer son bonheur, Sophie réalise alors le côté éphémère des nuages, leur absence de consistance et même la monotonie de leur couleur.
Elle décide donc de redescendre peu à peu vers un monde un peu plus dur, un peu plus dangereux aussi mais plein de couleurs et de saveurs différentes.
Et c’est ainsi qu’elle atterrit dans le port de Barcelone ! ;)

Son regard désormais porté sur eux

 

Coincoins !

 

Ce texte n’est pas libre de droits. La photo non plus

 

 

5 réflexions sur « Jusqu’au bout de son rêve … (par et avec Mia) »

  1. Alors là, c’est moi qui pique un fard et pas un petit ; d’autant que ça ne me semble pas du tout mérité (écrivant cela, je pense d’ailleurs à mon amie Calista et à ce satané problème de confiance qu’il faut décidément que je travaille… ) .
    El canardo/ary@ne (je ne sais même plus comment t’appeler), tu es décidément trop fort car, crois-moi, ce n’est pas aussi facile de me faire rougir ; d’autant qu’en ce moment, je suis bien bronzée 😉
    Ainsi, aujourd’hui, tu vis le même dimanche que moi… comme c’est bon, non ? Profites-en pleinement toi aussi.

    PS: le fait de me relire m’aura permis de pointer une belle faute d’orthographe (nous-mêmes avec un « s », c’est tout de même mieux)
    PPS: Est-encore l’effet de l’hyperventilation (suite à ton compliment totalement exagéré mais si bien écrit) ? Moi qui trouve en général les bébés moches, ce bébé girafe, je le trouve super beau !

  2. @ Mia que je félicite aussi pour sa plume, quitte à la rendre encore un peu plus cramoisie :
    Le manque d’assurance….
    Comme les girafes qui se sentent un peu avec les pattes gourdes quelquefois, il faut relever fièrement le cou et la tête, prendre de la hauteur, avancer sans redouter la griffure des fauves. Ce n’est pas faire montre de prétention, c’est juste apprivoiser ses craintes pour pouvoir ensuite savourer la victoire d’y être enfin parvenue.
    C’est accepter les bravo et les encouragements pour continuer sa route vers d’autres aventures. 😉

    • Merci beaucoup Ksenia, tant pour le compliment que le conseil.
      Curieusement, il semble que mon problème de confiance soit un peu bizarroïde, j’oserais même dire presque pervers dans la mesure où il n’est pas en rapport aux autres mais entre « moi » et « moi ».
      Ceci dit, tu as raison, il faut effectivement que j’apprenne à recevoir les compliments et encouragements sans dire « oui mais ». Pas facile mais j’y travaille 😉

  3. « Oui… mais … non » … Sacré dilemme. Entre le toi et toi. « Pas facile mais j’y travaille » qu’on pourrait traduire cette fois par « Non… mais… oui.. ». Bien plus positif que dans l’autresens. Serait ce un progrès ? Je te le souhaite. Et oui, accepte donc compliments et encouragements. Comment dirait un ami d’enfance « ya pas de mal à se faire du bien » que l’on peut traduire cette fois par un « oui…mais…oui… » très « desprogiens » non ? (« je répondrai oui sans hésiter, et je répondrai même oui,… »).

    Bon travail donc ! 😉

    Coin mais coins !

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